lundi 5 novembre 2012

Terminator II - 5/5

Oyez, oyez !


Cette semaine, ce n’est pas votre écrivain habituel qui vous écrit ces quelques mots, mais son petit frère, eh oui ici, c’est piston et compagnie. 

Alors comme vous avez pu le comprendre, chez nous le cinéma est une question de famille, nous avons été élevé à coup de   « qu’on me refoute au frigo », ou bien encore « Sarah Connors ? », et encore « je suis l’aigle de la route !!! » et j’en passe. Je ne connais surement pas grand-chose aux tableaux expressionnistes allemands, mais je peux me vanter d’avoir été éduqué dans une famille où la VHS puis ensuite le DVD était comme un être à part entière. Aujourd’hui je vais vous parler d’un film qui a traversé les âges et les cultures pour être encore maintenant un film culte, Terminator 2.


Pour résumer, c’est l’histoire d’une machine super développée qui vient du futur, nommée T-800. Cette, dite, machine est là pour protéger John Connors et Sarah Connors (dans cette opus, car dans le premier il était chargé de les tuer) contre un autre robot encore plus développé et encore plus "vénère" en métal liquide nommé T-1000. J’ai choisi ce film car aussi loin que je remonte, ce film est mon premier souvenir cinématographique, il est pour moi le meilleur des 4. Ce film est inclassable, car il à été réalisé dans les années 90, mais il n’est pas de la même trempe qu’un Die-Hard, Demolition Man, ou encore Judge Dredd, son scénario est un poil plus détaillé, et il n’y a pas assez de blague pour être comparé à John McClane. J’ai "surkiffé" le film grâce à sa bande sonore, je pense que tout le monde se souvient de la musique de Terminator 2, malheureusement, par écrit cela est impossible retranscrire à moins que j’apprenne le solfège juste pour ça, mais là on rentre dans quelque chose de compliqué.
Il est resté dans les mémoires lui aussi grâce à des répliques cultes, je vous ai fait une petite sélection :

« John Connors : Argent facile (en piratant un guichet bancaire) »

« T-800 : Reste cool, sac à merde ! »

« T-800 : J’ai besoin de vacance (dit-il alors qu’il lui manque une partie du crâne et un bras)  »

« T-800 : Hasta la vista baby ! »

Voila, c’est ici que s’arrête ma première critique de film, et je conclurais avec LA phrase de Shwarzy (en anglais car c’est plus classe) : « I will be back »

Nicooo